
La satire des moeurs "plouques" est servie aux petits oignons, du plouc hongrois au plouc texan, tout est plouc dans ce spectacle. Rendus hilares par le pénis géant à paillettes du cowboy, on en oublierait presque qu'il est l'instrument d'un viol. On avance allègrement dans une histoire d'inceste digne de Atrides, cuisinée au beurre rance. La petite paysanne au ventre arrondie se fera larguée comme une putain lorsque son époux comprendra qu'il est son oncle, et qu'il préfèrera aller courir le guilledoux avec sa soeur adoptive.
Un petit monde joyeux et consanguin qui s'en donne à coeur joie sur quelques mètres carrés de paille, accompagné par un orchestre d'hommes déguisés en femmes. Une loufoquerie inquiétante et confinée.
Du 16 au 21 octobre à la Cité internationale.
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